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Depuis sa création en 1935, UPSA porte une conviction forte : fabriquer en France est un choix stratégique, économique et sociétal.

Implantée au cœur du Lot-et-Garonne, où elle est le premier employeur privé, UPSA incarne un modèle industriel à la fois responsable et durable.


À l’heure où la réindustrialisation s’impose comme une priorité nationale, UPSA démontre qu’un "Fabriqué en France" exigeant, compétitif et durable est non seulement possible, mais nécessaire. 


Mais chez UPSA, produire en France ne suffit pas — nous défendons une vision plus large : celle de la responsabilité territoriale d’entreprise.

Notre modèle repose sur des projets qui nous font grandir autant qu’ils font grandir notre territoire et ses acteurs.

Notre intime conviction, c’est que notre ancrage territorial ne doit pas se limiter à la production, mais bien s’inscrire dans une véritable chaîne de valeur qui bénéficie à l’emploi local, à la fiscalité territoriale, à l’environnement, et à la résilience nationale.


Pour UPSA, faire du « fabriqué en France » est une conviction pour soutenir l’industrie française et assurer la souveraineté sanitaire.  À Agen, sur nos deux sites de production, 100 % de nos médicaments à base de paracétamol – dont les marques emblématiques Dafalgan et Efferalgan – sont conçus et fabriqués en France. Ce sont aujourd’hui plus de 350 millions de boîtes produites chaque année, faisant d’UPSA le premier site français de fabrication de médicaments à base de paracétamol en France. Durant le COVID, UPSA n’a pas connu de ruptures d’approvisionnement grâce à ses collaborateurs et à la force de ses outils industriels dans lequel nous investissons chaque année plusieurs millions d’euros. UPSA s’est également engagée dans le processus de relocalisation du principe actif paracétamol aux côtés de Seqens et Ipsophène et sera le premier laboratoire à fabriquer du Paracetamol 100% fabriqué en France. Fidèle à notre raison d’être, nous nous sommes engagés à produire deux molécules essentielles.


Le choix de produire en France c’est aussi un enjeu de création de valeur territoriale. UPSA par sa présence génère des emplois directs et indirects et contribue à la fiscalité locale, ce qui renforce le tissu économique de notre territoire. L’engagement d’UPSA en Lot-et-Garonne est total. En 2024, UPSA a soutenu près de 5 000 emplois à temps plein en France. On compte parmi eux les emplois directs du groupe avec 1700 collaborateurs, mais aussi plus de 600 emplois soutenus dans la chaîne de fournisseurs grâce aux achats français, et plus de 2 700 emplois induits grâce aux salaires versés et à la fiscalité collectée par les administrations publiques. Ainsi, pour un emploi direct d’UPSA, deux emplois supplémentaires sont soutenus dans l’économie nationale. Notre impact à l’échelle du Lot-et-Garonne reste très marqué puisque notre activité représente 4 % du produit intérieur brut du département. Fidèle à notre engagement en faveur d'une responsabilité territoriale d'entreprise, nous avons lancé une initiative inédite : l’Académie des élus. Conçue comme un espace d’échanges et de formation, elle réunit les élus locaux – maires et conseillers municipaux – afin de partager nos enjeux d’entreprise et ceux du bassin agenais. Cette démarche permet non seulement de renforcer le dialogue entre acteurs publics et privés, mais aussi de faire découvrir concrètement nos activités en ouvrant les portes de nos usines. À travers cette initiative, nous affirmons notre vision de la Responsabilité Territoriale d’Entreprise : agir ensemble, sur le terrain, pour créer de la valeur durable au service du territoire.



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Le choix de produire en France est aussi un acte fort en faveur de la transition écologique. En maintenant nos sites industriels sur le territoire national, nous contribuons à la réduction de l’empreinte carbone du pays. Chez UPSA, 80 % de nos fournisseurs sont basés en France, ce qui limite les transports longs et renforce les circuits courts. Notre engagement environnemental se traduit également par un plan ambitieux de décarbonation de nos sites industriels, avec pour objectif une réduction de 60 % de nos émissions de gaz à effet de serre (GES) sur les scopes 1 et 2 d’ici à 2030. Par ailleurs, 100 % des emballages de nos nouveaux produits sont conçus selon des critères stricts d’éco-conception, intégrant à la fois la réduction des matériaux, leur recyclabilité et l’optimisation logistique.


Enfin, le choix de produire en France c’est contribuer au rayonnement international et à l’attractivité de la marque française. Le « Made in France » est un label de confiance partout dans le monde. Nos produits Efferalgan et Dafalgan sont leaders sur de nombreux marchés internationaux.



60 % de notre chiffre d’affaires est réalisé à l’export, dans plus de 60 pays. Cela témoigne de la solidité de la marque UPSA et de l’attractivité de la qualité française. D’après une étude réalisée en 2024 par le réseau CCI France en collaboration avec l’Institut OpinionWay : ses résultats révèlent que le made in France est appréciée en raison de sa réputation associée à la qualité, à l’image positive des marques mais aussi à leur engagement. 


Pourtant, ces externalités positives sont encore trop absentes du débat public. Alors que la France s’engage dans une phase cruciale de rééquilibrage de ses finances publiques, le débat économique demeure figé dans un dualisme devenue stérile : faut-il réduire les dépenses publiques ou alourdir la fiscalité ? Cette polarisation, répétée à l’envi, ne rend plus compte de la complexité des enjeux ni des leviers réellement disponibles.


Chez UPSA, nous sommes convaincus qu’une autre voie existe : celle de la réindustrialisation et du soutien actif à la production nationale. Acheter un bien fabriqué en France, c’est bien plus qu’un choix de consommation : c’est un acte économique et politique fort et mesurable. Chaque achat soutient les entreprises qui produisent sur notre territoire, consolide l’emploi local, génère des recettes fiscales et réduit la dépense sociale. Chez UPSA, nous en sommes un exemple tangible.


La France est grandement dépendante des importations, qui dépassent aujourd’hui 650 milliards d’euros par an qui ne contribuent ni au financement de nos services publics ni à celui de notre modèle social. Ils alourdissent notre déficit commercial, nourrissent notre dette extérieure et réduisent les marges de manœuvre de la puissance publique.


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Selon les travaux de la mission « Fabriqué en France », relocaliser seulement 10 % des biens consommés par les ménages français représenterait un gain de production nationale de 11,2 milliards d’euros, et la création de 150 000 emplois. Par ailleurs, le Made in France reste aujourd’hui un véritable « trou noir » de la commande publique. Le potentiel additionnel des achats publics de produits français est estimé à 15 milliards d’euros — soit près d’un cinquième du déficit commercial enregistré en 2024. Réserver ne serait-ce que 25 % des marchés publics aux produits français représenterait un levier de 50 milliards d’euros d’achats annuels en soutien direct à notre tissu productif.


C’est la raison pour laquelle nous appelons à un véritable tournant, qui reconnaisse enfin la valeur de ceux qui fabriquent en France et qui font vivre nos territoires. 


Ce combat pour la défense du fabriqué en France doit se déployer sur tous les fronts : dans nos gestes quotidiens comme dans l’élaboration des politiques publiques. À l’heure où chaque euro dépensé compte, privilégier des biens et services issus du territoire national, intégrer la localisation de la valeur ajoutée dans la commande publique, soutenir les filières industrielles locales ne relèvent pas de l’isolationnisme ni du nationalisme économique. C’est reconnaître que produire en France génère des emplois, nourrit les recettes fiscales, assure le financement de la sécurité sociale, favorise l’investissement productif et bâtit une résilience économique durable. C’est par cette voie collective et engagée que nous pourrons sortir des impasses actuelles et assurer un avenir solide, souverain et prospère pour notre pays.


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Laure Lechertier, Directrice de l'accès au marché, des affaires publiques, de la communication et de la responsabilité sociétale d'entreprise d'UPSA. Membre du comité exécutif d’UPSA Groupe. 




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La Réunion face au défi du vieillissement 


La Réunion connaît un vieillissement rapide de sa population. En 2023, 17,3 % des Réunionnais ont plus de 60 ans. Une part en hausse, à un rythme plus soutenu qu’en métropole. 


Ce phénomène se heurte à des spécificités territoriales fortes : éloignement et inégalités d’accès aux structures de soin et services de proximité ainsi qu’un pouvoir d'achat globalement plus faible qu'en France hexagonale. D’où le besoin de solutions locales, souples et humaines. 


La Réunion bénéficie néanmoins d'une culture familiale très ancrée, favorable à des alternatives aux structures classiques. L’accueil familial répond ainsi à une double attente : rester au plus près de ses repères tout en étant accompagné au quotidien. 


L’accueil familial : une réponse humaine, réglementée et locale 


Dans le cadre de ce dispositif, un professionnel accueillant, agréé par le Département, héberge et partage son quotidien dans son domicile, avec trois personnes en perte d’autonomie, leur apportant aide, soins et présence. 


Encadré par le Code de l’Action Sociale, ce dispositif présente de nombreux atouts : un cadre de vie plus chaleureux qu'un établissement, un maintien du lien social, un coût plus abordable pour les familles comme pour les collectivités. Dans des territoires insulaires ou ruraux, il constitue une réponse pertinente et durable. 


La Réunion, territoire pionnier de l’accueil familial 


La Réunion fait figure de modèle en matière d’accueil familial. Le Département investit activement dans le déploiement et la structuration de l'offre. En décembre 2022, 696 familles d’accueil étaient recensées, pour 1 600 places agréées — une augmentation de 37,3 % depuis 2015. Toutefois, la filière vieillit et doit être renouvelée. 


Pour répondre aux besoins croissants, le Département innove en créant les Maisons d’Accueillants Familiaux (MAF). La première a été inaugurée en 2018. Ces maisons regroupent plusieurs accueillants, pour accompagner jusqu’à 16 personnes. Co-financées avec les CCAS, ces structures permettent de répondre à des situations d’urgence, de renforcer le maillage local, de lutter contre l’isolement et de soutenir les aidants. 


Aujourd’hui, 9 MAF sont actives sur l’île. Leur impact est déterminant, d'autant que l'offre en établissements médico-sociaux reste inférieure aux moyennes nationales. Le Département a fait de l’accueil familial un axe fort de sa politique du bien vieillir : plan d’actions pour renforcer l’attractivité du métier, revalorisation des rémunérations, actions de formation… 


MonSenior : une structure innovante qui redynamise le dispositif 


Dans cette veine, MonSenior a créé un modèle innovant d’accueil familial, en développant d’une part des maisons conçues spécifiquement pour ce mode d’accueil et d’autre part, en offrant aux accueillants un cadre rassurant, un appui quotidien et des outils pour sécuriser leur parcours. 


Ce modèle présente de nombreux atouts : il fonctionne sans financement direct des collectivités, n’impose pas de statut salarié aux accueillants (ce qui en facilite la gestion), et intègre une large gamme de services dédiés aux professionnels. Résultat : un métier valorisé, plus attractif et une filière renouvelée et rajeunie. 


Le projet de MonSenior est clair : faire de l’accueil familial une filière professionnelle reconnue dans le secteur de l’accompagnement, accessible et pleinement intégrée aux politiques publiques du bien vieillir. En créant des passerelles solides entre collectivités, familles et acteurs de terrain, MonSenior incarne une nouvelle forme de solidarité territoriale, à la fois humaine et durable. 


Ces deux illustrations dressent les contours d’un accompagnement du grand âge à la fois humain, local et soutenable. Des alternatives ancrées dans les territoires, à forte “valeur humaine ajoutée”, constituant une réponse concrète au défi du vieillissement, que les collectivités ont tout intérêt à soutenir et démultiplier.


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Dans le paysage institutionnel français, les départements occupent une place singulière.


À la fois proches du quotidien et dotés de compétences structurantes, ils assurent des missions essentielles dans des domaines aussi variés que l’action sociale, l’éducation, l’aménagement du territoire, les mobilités ou encore le soutien aux communes rurales.


Pourtant, cet échelon reste régulièrement sous-évalué, parfois marginalisé dans les débats publics, et rarement reconnu à la hauteur de son efficacité concrète.


C’est cette discrétion, cette rigueur, et cette continuité de l’action publique départementale que la cérémonie des

D d’Or 2025 entend mettre en lumière.


Organisée par le Groupe Delbo Presse et Le Journal des Départements, en partenariat avec le Conseil départemental du Nord, cette cérémonie vise à reconnaître et valoriser les dynamiques collectives, les méthodes de travail et les engagements qui font la force des départements.


La cérémonie ne consacre ni des fonctions, ni des réputations : Elle distingue des démarches, des résultats, des approches territoriales construites dans le temps long.

Dans un contexte d’évolution rapide des attentes citoyennes et de contraintes budgétaires persistantes, les départements ont su maintenir une capacité d’action directe, pragmatique et mesurable.


Ils assurent la continuité des politiques sociales, accompagnent les parcours de vie, soutiennent les plus fragiles et pilotent une part essentielle de l’investissement public local.


Ils sont, aujourd’hui encore, l’un des rares échelons capables d’articuler équité territoriale et efficacité administrative.


Un temps fort de la soirée sera consacré à la révélation, par l’Institut Quorum, du Top 10 des Départements préférés des Français.Après la Haute-Loire en 2023 et l’Ain en 2024… Qui sera désigné en 2025 ?


Valoriser les départements, ce n’est pas opposer les collectivités entre elles. C’est affirmer que le bon niveau d’action publique est celui qui permet de faire, d’accompagner, de répondre.

C’est rappeler que les départements, malgré une reconnaissance politique parfois fragile, restent aujourd’hui l’un des piliers les plus opérationnels de la décentralisation.


🎯 Les D d’Or ne sont pas une célébration symbolique.Ils sont un point d’appui, un moment de cohérence, une manière de dire que, dans la République, ce qui fonctionne mérite aussi d’être regardé.



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